Alain Lapiower entreprend depuis plus de 20 ans de défendre et soutenir la création hip-hop au sens large (rap, R’n’B, graffs, danse, street-art, slam…). Ces courants urbains, «urbains» ne voulant pas dire « de la ville » mais bien «des quartiers rejetés de la ville», ont réussi à arracher une reconnaissance et une certaine légitimité après moult péripéties et années de galère ... (Agir par la culture 14/10/2011)